Equateur - Agua, Vida y Naturaleza, planter des légumes et des arbres fruitiers sans irrigation

Agua vida y Naturaleza project in Ecuador while growing various fruit and vegetable speciesIntroduction

Ce document explique le Project Agua, Vida y Naturaleza (AVNP) qui a débuté le 3 janvier 2012 en Équateur. Si, après la lecture de ce document vous avez des questions ou si vous voulez commencer un projet similaire, merci d'envoyer un mél à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Lisez ici les résultats de la plantation réussie de bois et d'arbres fruitiers. Lire les résultats des arbres plantés à La Chocolatera en Équateur, qui est l'un des endroits les plus difficiles sur terre pour planter un arbre.

 

 

Planter des arbres en Equateur sans utiliser de systèmes d'irrigation et économiser de l'argent avec le Waterboxx plant cocoon Plantez des arbres en Equateur sans systèmes d'irrigation et économisez de l'argent sur l'électricité et l'eau - utilisez le Waterboxx plant cocoon
Abre Saman de 17 mois à Santa Elena
(Equateur) sans irrigation,
avec Groasis technologie
Équipe Agua Vida y Naturaleza
avec un arbre Gmelina de 18 mois sans irrigation,
avec Groasis technologie

Le financement du projet

Le Project Agua, Vida y Naturaleza a été financé par la fondation néerlandaise « COmON Foundation ». Le fondateur de COmON est issu d'un milieu agricole et soutient le rêve de Pieter Hoff pour reboiser le monde avec 2 milliards d'hectares d'arbres ayant un intérêt économique et écologique et ceci dans les 40 ans à venir. Par l'AVNP, le fondateur espère de réaliser cela en développant un modèle qui peut être appliqué et répété à une plus grande échelle partout dans le monde.

La Technologie écologique Groasis d’efficacité hydrique
La Technologie écologique Groasis d’efficacité hydrique a été introduite par AquaPro Holland, une société privée établie par l'inventeur Pieter Hoff. La Technologie écologique Groasis d’efficacité hydrique (TG) est une technologie de biomimétisme qui restaure l'écosystème et le couvert végétal, et qui consiste en :

  1. l'amélioration du sol avec des mycorhizes ;
  2. laissant intact la structure capillaire du sol ;
  3. l'utilisation des plantes avec les racines primaires correctes ;
  4. l'utilisation du Waterboxx® plant cocoon, et, si nécessaire, même en plantant sur des roches ;
  5. l'utilisation de la perceuse capillaire.

La Technologie écologique Groasis d’efficacité hydrique copie la façon dont mère Nature résous le problème de planter dans des déserts, des régions érodées, des badlands et sur des roches. En utilisant cette technologie, nous pouvons replanter des régions artificiellement désertifiées ou érodées, restaurer le couvert végétal et les rendre productives par la plantation d'arbres fruitiers et de légumes.

Obstacles pour les pauvres
La TG peut être utilisée par chacun qui veut planter dans des régions arides ou érodées – cela peut concerner des gouvernements, des ONG, des investisseurs ou des agriculteurs. L'AVNP se concentre sur des agriculteurs qui habitent dans les lieux secs et qui éprouvent des grands obstacles s'ils veulent commencer à cultiver :

  1. presque pas d'accès à l'eau fraiche suffisante pour cultiver leur cultures ;
  2. pas de capital à investir, même s'ils veulent bien le faire, et ;
  3. peu ou pas de connaissances comment cultiver des cultures à rotation rapide.

Base économique
Il existe près de 300 millions de petits agriculteurs au monde ; chaque année, ils sont moins nombreux. A cause d'une insuffisance de revenue et des perspectives d'un avenir très sombre, ils arrêtent de cultiver et vont vivre en ville. En 2009, pour la première fois plus de 50% de la population mondiale vivaient dans des villes ; ceci est un défi important. En 2050, nous vivrons avec approximativement 10 milliards d'hommes sur la planète (comparé aux 7 milliards que nous venons juste de passer). Nous devons donc augmenter la production de nourriture par au moins 43% afin d'avoir la même quantité de nourriture pour les 10 milliards que nous avons à présent pour une population de 7 milliards. Presque 1 milliard d'hommes souffrent de malnutrition ; et le prix pour les produits alimentaires de base (le riz, le maïs, le blé) a doublé au cours des trois dernières années. Il est clair que nous devons trouver une solution à ce problème. Ceci signifie que nous devrons créer des manières pour que les agriculteurs puissent produire plus de nourriture et sur une base plus profitable ! Si nous y parvenons, ces agriculteurs resteront sur leurs terres et n'iront pas dans des villes déjà surpeuplées.

La population mondiale va augmenter et nous devrons faire face à plusieurs problèmes comme la pénurie d'eau et la pénurie alimentaire

Défis des régions sèches
Les régions sèches nous offrent des possibilités mais également des défis. Beaucoup de régions arides profitent de pluies suffisantes (de 250 – 500 mm ou 2,5 – 5 million litres par hectare) ; mais cette pluie tombe d'une façon inégale pendant l'année. La carte ci-dessous (en jaune, en orange et en rouge) montre toutes les régions qui ont été déboisées par l'homme sur une période de 2.000 ans, mais qui ont une quantité d'eau suffisante afin d'être productives. Cette région comprend environ 2 milliards d'hectares. Ces régions fussent boisées. Elles peuvent être boisées à nouveau – si nous voulons le faire. Le fait que les arbres y poussaient dans le temps, veut dire qu'il n'existe aucun doute qu'ils peuvent y pousser de nouveau. Il y a assez d'eau pour pousser et être productif.

Le monde était autrefois couvert d'arbres - les humains coupent et brûlent les forêts et le monde devient plus sec

Toutefois, bien qu'il y ait assez d'eau pendant l'année, il y a un défi : cette eau tombe d'une façon inconsistante. Parfois il pleut pendant une ou deux semaines et après, il reste sec pendant les 50 autres semaines. Cela signifie que les cultures qui dépendent sur des semences (p. ex. maïs, légumes extérieures, blé) ne peuvent pas pousser sans irrigation. Mais il n'y a pas assez d'eau souterraine pour irriguer le monde entier. Beaucoup de pays qui l'ont trop utilisé dans le passé maintenant dépendent de la technologie de l'osmose inverse afin de produire de l'eau potable à partir d'eaux usées ou même d'eaux salinées (p. ex. Israël, Jordanie, Le Moyen-Orient). Quelques pays ont déjà perdu des régions qui autrefois étaient étendues et productives (p. ex. Death Valley en Californie). Dans des régions arides avec suffisamment d'eau mais d'une façon inégale, nous devons utiliser des arbres pour produire de la nourriture. Ces arbres ont la capacité d'y pousser sans aucun problème, dès qu'ils survivent la première année – et c'est exactement ce que la Technologie écologique Groasis d’efficacité hydrique fait. La photo suivante montre un Acacia au Nord du Kenya. Cette photo a été prise pendant la grande sécheresse en été 2011. Tous ce qui est en dessous l'arbre est aride et mort ; cependant, l'arbre est 20 mètres de haut avec un feuillage de 30 mètres en diamètre – et il pousse bien. Donc les arbres qui peuvent survivre des périodes sèches sans pluie et qui produisent 5 tonnes de fruits par hectare sont la réponse au défi alimentaire. Afin de résoudre le problème de la pénurie alimentaire, nous devons planter une portion signifiante des 2 milliards d'hectares de terre marginale (érodée, dégradée, rocheuse, aride, etc.) disponible avec des arbres produisant de la nourriture.

Un arbre d'acacia dans le nord du Kenya. La photo est de 2011, quand l'été était extrêmement chaud et sec. L'arbre lui-même se développe bien et est très grand

Le défi de la liquidité du capital
La prochaine question : qui va planter ces arbres ? En principe, les agriculteurs qui habitent déjà dans ces régions pourront le faire. Mais ils sont pauvres et ils n'ont presque pas de revenues pour vivre. Voilà la raison pour laquelle un grand nombre entre eux s'arrêtent. Et planter des arbres pose des défis additionnels pour eux – p. ex. Qui va acheter et financer ces arbres ? Pendant les premières 5 à 7 années, ils ne sont pas productifs, mais il faut quand même les soigner. Qui va payer pour cela – comment vont-ils surmonter 7 années sans revenue ? Où vont-ils trouver de la nourriture – qui est déjà tellement chère – pour survivre ? La réponse se trouve dans la création d'une revenue à base de cultures commerciales et à court terme. Nous devons mettre au point une manière pour qu'ils produisent assez de nourriture garantissant de la nourriture pour eux-mêmes, une revenue et de l'argent qu'ils puissent investir dans la plantation et la maintenance des arbres fruitiers, ce qui va permettre de franchir la période de 5 à 7 ans jusqu'au moment que ces arbres commencent à être productifs. La meilleure culture commerciale pour cela sont les légumes.

Avec le Groasis Waterboxx vous pouvez cultiver 50 kilos de tomates par plante avec moins de 20% de la consommation moyenneL'objectif est de générer 50 kg de tomates par m² avec moins de 20% de l'eau utilisée normalement en moyenne

Les légumes, peuvent-elles survivre 50 semaines de sécheresse?
Non. Les légumes ont quotidiennement et suffisamment besoin d'eau pour pousser et produire leur fruits. Une plante de tomates qui génère 1 kilo de tomates par semaine a besoin d'un approvisionnement signifiant et consistent d'eau pour faire ainsi. Voilà la raison pour laquelle nous avons entrepris des essais avec la Technologie écologique Groasis d’efficacité hydrique (TG) – pour savoir si la technologie est aussi efficace avec des légumes qu'avec les arbres. Les essais au cours de 2011 nous ont appris que la TG est prometteur. Les essais initiaux avec des légumes (avec 20% moins de consommation d'eau comparée aux techniques traditionnels d'élevage) donnaient des taux élevés de production de fruits. Pour voir ces résultats, vous pouvez visiter cette page afin de trouver des photos et cette page pour les vidéos de YouTube.

Climat contrôlé
Comparées aux arbres, les légumes ont des demandes autres que de l'eau. Les arbres ont développé des mécanismes pour franchir des longues périodes de sécheresse. Ils ont, entre autres, des racines pivotantes allant jusqu'à 80 mètres de profondeur afin de trouver de l'eau capillaire. Ils laissent tomber leurs feuilles si la quantité de l'évaporation des feuilles est plus élevée que la quantité de l'eau trouvée par les racines pivotantes. Et les nuits froides du désert ne nuisent pas à leur croissance. Les légumes n'ont pas ces dispositifs de survie. Voilà la raison pourquoi nous avons besoin de développer des environnements contrôlés afin d'éviter les circonstances extrêmes qui nuisent la production des légumes dans ces conditions. Pour obtenir ceci, nous utilisons une serre en combinaison avec une ombrière. Le Groasis Climate Control House (GCCH – La maison contrôlant la climatisation) nous permet de maintenir l'humidité suffisamment élevée pendant la journée et de maintenir les températures suffisamment élevées pendant la nuit. Cependant, une serre en plastique donne des températures trop élevées à l'intérieur pendant la journée ; pour éviter les extrêmes, nous utilisions une nouvelle façon de faire de l'ombre – « de l'ombre blanche » sur l'ombre noire. Alors nous utilisons un double filet d'ombrage. Au lieu d'un ombrage uniquement noir (utilisé dans 99% des cas), l'ombrage additionnel blanc empêche le rayonnement solaire. Nous fixons également l'ombrage à 2 mètres en dessus de la serre, afin de laisser un courant d'air emporter la chaleur avant qu'elle atteigne la serre. Ce principe d'ombrage garde la chaleur dehors pendant la journée et nous permet d'obtenir des températures équilibrées afin de cultiver des légumes hors conditions climatiques difficiles. Ensemble avec la Waterboxx® plant cocoon, qui donne la dose journalière requise d'eau aux plantes, nous envisageons cette technologie d'être capable de cultiver des légumes dans des zones arides.

La maison de contrôle climatique Groasis. Cette serre a deux nuances situées l'une sur l'autre pour une croissance plus rapide pour les plantes

Le Groasis Climate Control House comprend deux filets d'ombrage entreposés l'un sur l'autre. Ils sont approximativement à 1.50 mètres au dessus le point le plus haut de la serre. L'ombrage supérieure est blanc « 65% d'ombre » et l'ombrage inférieur est noir « 50% d'ombre ». Vous pouvez voir l'ombrage supérieur blanc de cet angle.
Le côté de la maison de contrôle climatique de Groasis. L'ombre offre un refroidissement optimal pendant les heures les plus chaudes de la journée

Sur cette photo vous pouvez voir les côtés ouverts. Nous pouvons remonter le plastic du côté jusqu'à 3 mètres.

Le devant de la maison de contrôle climatique de Groasis. Les nuances sont plus larges que la serre elle-même et fournissent aux plantes un air plus frais pendant la journée

La serre mesure 7 mètres de largeur, l'ombrière mesure 10 mètres de largeur. De chaque côté l'ombrière est 1.50 mètres plus large que la serre. De cette façon, elle offre de l'ombre dans la matinée et l'après-midi quand le soleil n'a pas encore atteint son zénith.

Les résultats sont surprenants. Nous sommes en mesure d'obtenir des températures plus basses qu'à l'extérieur sans devoir utiliser de l'énergie. Nous avons également un meilleur « climat » avec moins de différences extrêmes d'humidité relative. En outre, la radiation dans la serre est considérablement plus basse. Voici les résultats :

Les résultats sont étonnants. Dans la Groasis Climate Control House, la température est plus basse que l'extérieur, sans électricité!

Nourriture et revenue
En assistant les agriculteurs pauvres à cultiver des légumes, nous créons la possibilité pour eux d'avoir assez de nourriture de bonne qualité et une revenue suffisante. Cela leur permet de planter des arbres fruitiers et d'attendre pendant une période de 5 à 7 ans jusqu'au moment qu'ils soient productifs. En développant un modèle commercial qui permettra aux agriculteurs pauvres de gagner de l'argent, ils vont cesser d'émigrer, de produire plus de nourriture et nous aider à reboiser le monde avec des arbres productifs. Si nous pouvons créer une armée de 300 millions d'agriculteurs pour planter des arbres, les 2 milliards d'hectares de terres autrefois boisées, seront productives à nouveau d'ici 2 générations. Agua, Vida y Naturaleza est un modèle garantissant suffisamment de nourriture et de revenus pour les agriculteurs. Ce modèle peut être copié et adapté selon chaque situation et après, multiplié partout dans le monde.

Modèle de multiplication basé sur une offre d'éducation suivi par accès au capital
Cependant, le problème pour ces agriculteurs reste l'accès à l'éducation et au capital afin de commencer ce modèle. C'est pourquoi nous nous sommes concentrés sur un modèle comprenant la formation et la facilitation du capital, ce qui leur donne l'opportunité de commencer. Si nous leur donnons accès au capital après avoir suivi des formations, nous serons certains qu'ils comprendront la technologie, qu'ils seront capables de gagner de l'argent et qu'ils auront suffisamment de la nourriture et de revenue pour pouvoir repayer leurs prêts. Une fois ce modèle marchera, nous pourrons le multiplier pour les autres 300 millions d'agriculteurs pauvres.

Équateur comme exemple
La « Cooperativa de Ahorro y Credito » à Guayaquil constitue un partenaire idéal pour organiser le projet Agua, Vida y Naturaleza. Ils ont plus de 54.000 membres – agriculteurs et 56 centres agricoles. Les 56 branches forment les futurs centres de formation pour les membres de la Cooperativa. Le site central des formations se trouvera dans la province du Santa Elena en Équateur, sur le site expérimental de l'Universidad de la Peninsula de Santa Elena, le deuxième partenaire dans ce projet. Le troisième partenaire dans le projet est Groasis Équateur, le distributeur local d'AquaPro. Groasis Équateur a été fondé par deux familles d'entrepreneurs qui ont des racines agricoles : la famille Sansur qui utilisent une société qui fournit le secteur agricole ; et la famille Nevado qui utilisent la plus grande et seule société productrice de roses organiques en Équateur. Le quatrième partenaire et initiateur de ce projet et AquaPro Holland.

Accès à la formation
Le Projet Agua, Vida y Naturaleza en Équateur suit un modèle simple de multiplication :

  1. Nous cherchons un partenaire fiable dont notre groupe cible sont des membres. Dans le cas présent, la Cooperativa de Credito y Ahorro (CCA) – une coopérative d'agriculteurs basée à Guayaquil – est le partenaire. Si vous êtes intéressés à développer un modèle de partenariat similaire avec nous, ce partenaire peut être n'importe quel groupe effectif – p. ex. une tribu, un village ou une région – à condition que ce group ait une forte structure d'organisation ;
  2. Nous préférons également avoir un partenaire fort dans le domaine de la science – y compris expérimenté dans la formation d'étudiants. Dans le cas présent, c'est l'Universidad de la Peninsula de Santa Elena (UPSE) ;
  3. Le partenaire scientifique développe un centre de formation pour les stagiaires ;
  4. Après avoir reçu la formation, les stagiaires se rendront dans des régions peuplées par des agriculteurs pauvres ;
  5. Sur place, la Coopérative commence des centres de formation, une copie du centre de formation à l'Université ; et donc les anciens « stagiaires » deviennent des « formateurs » et commencent à former les agriculteurs – les femmes, les hommes et s'ils veulent, leurs enfants. CCA, le partenaire dans l'AVNP a 56 branches ;
  6. La formation est à la fois théorétique et pratique ;
  7. Après un an, les étudiants peuvent passer un examen et, s'ils réussissent, ils obtiennent un certificat de la Technologie écologique Groasis d’efficacité hydrique.

Accès au capital
Après avoir réussi l'examen, l'agriculteur (ou un groupe d'agriculteurs), peut faire une demande pour du capital. Nous sommes à la recherche de banques qui veulent y participer. À ce propos, nous avons deux partenaires potentiels en matière de capital. Notre partenaire coopérative en Équateur est facilitée par le gouvernement Équatorial afin de fournir du capital. En janvier 2012, nous avons eu une première réunion avec une banque privée internationale forte qui est très intéressé d'examiner le modèle avec la possibilité d'y participer. Toutefois, il existe un côté risqué à ce genre de production agricole, ce que n'aiment pas les banques. L'agriculteur, même s'il a obtenu son certificat de Groasis, dans la plupart des cas n'a aucune garantie. C'est pourquoi nous avons fait appel à l'Inter-American Development Bank (AIDB) à Washington. Nous avons invité l'AIDB d'examiner la possibilité de développer un modèle où ils peuvent prendre sur soi le rôle de garant pour le fournisseur de capital. De cette façon, l'AIDB peut démultiplier son capital dans une plus grande mesure qu'à présent. AIDB a montré son intérêt et suit de près le Projet Agua, Vida y Naturaleza. Si ce modèle financier a du succès, nous aurons trouvé un moyen de le multiplier envers 300 millions d'agriculteurs dans le monde entier.

Information générale sur la région
Ce propos est un plan pour reboiser et restaurer l'écosystème de la péninsule Santa Elena, Manabí, El Oro, Los Ríos, Bolivar, Guayas et Tungurahua en Équateur. En aidant les agriculteurs à produire assez de nourriture et de revenue, ils seront capables de planter des arbres fruitiers, très importants d'un point de vue économique, et éventuellement d'autres arbres qui sont importants pour l'environnement. Cette région et les régions autour ont récemment été frappées par une grave sécheresse, ce qui a mené à la faim, la pauvreté et l'effondrement économique de la région. Au lieu de décrire la situation ici, nous vous prions de bien vouloir lire les liens suivants. Cela vous donnera un aperçu des problèmes rencontrés par cette région et d'autres régions similaires :

Lien 1 >  http://www.eeb.cornell.edu/agrawal/pdfs/other-pdfs/reforestation.pdf

Groasis souhaite reboiser certains écosystèmes en Équateur pour aider les agriculteursGroasis souhaite reboiser certains écosystèmes en Équateur pour aider les agriculteurs

Lien 2 >  Désastre de la sécheresse en Équateur mars 2011

La sécheresse touchant la côte Équatorienne entraîne de lourdes pertes économiques

La sécheresse à cause d'un manque de pluie dans la région côtière, a entraîné de lourdes pertes de plus de $220 million dans la production agricole. Le Ministère de l'Agriculture, de l'Elevage, de l'Aquaculture et des Pêches (MAGAP) ainsi que le Secrétariat National du Risque estiment que 78.000 hectares de riz et 110.000 hectares de maïs ont été perdues.

Cinq provinces dans la région ont été déclarées « en état d'urgence » selon le Centre des Opérations d'Urgence d'Équateur (COE). Les provinces les plus touchées sont Guayas et Los Rios (90% de dommages). Dans Santa Elena, El Oro et Manabi à peu près 15.000 hectares de riz ont été desséchés selon les premières estimations ($156 millions de pertes rien que dans la production de riz).

D'autre part, le gouvernement a décidé de suspendre des exportations vers la Colombie, qui était prêt à acheter quelques 150.000 tonnes cette année. Ce mesure évitera des pénuries intérieures – 90.000 tonnes sont stockées dans l'Unité Nationale de Stockage ; et 50.000 tonnes sont entre les mains des autorités de l'industrie par secteur, qui est utilisé pour satisfaire la demande intérieure.

Une crise similaire a touché les cultivateurs de maïs dans ces régions. Les villes côtières en crise ont perdu à peu près 110.000 hectares. Les cultivateurs de maïs on perdu environ $71 million au rythme de $13 par quintal. La sécheresse pourrait encore continuer à toucher encore 100.000 hectares de maïs.

Visite et contrôle
Le centre de formation GT sera localisé sur la péninsule de Santa Elena – une heure de conduite de Guayaquil. Il y a un vol direct entre Amsterdam et Guayaquil cinq fois par semaine. Guayaquil est une ville comptant environ 2,4 million d'habitants et avec suffisamment de facilités hôtelières modernes de classe mondiale. Vous trouverez de l'information en cliquant ce lien Wikipedia. Le Projet Agua, Vida y Naturaleza est ouvert toute la journée, sur rendez-vous. Pour fixer un rendez-vous, merci de contacter la directrice du Projet Mme Monica Figueroa Suarez, mél Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Conclusion
Nous espérons que cette explication du Projet Agua, Vida y Naturaleza vous inspirera de développer un projet similaire. Ce projet est basé sur le développement d'un modèle auto multiplicateur utilisant des principes économiques solides. Ce projet fait part de notre effort de reboiser les 2 milliards d'hectares de régions autrefois boisées avec des arbres d'intérêt économique et écologique dans les 40 ans à venir. Merci d'avoir lu ce texte et merci de votre intérêt dans ce travail important.

Vous trouverez ici des séries de photographies du projet :

March 2012 Santa Helena The Agua, Vida and Naturaleza vegetable and fruit tree project in Santa Helena Ecuador funded by COmON
May 2012 Santa Helena Agua, Vida y Naturaleza vegetable, fruit tree and wood tree Project in Sta Elena Ecuador with Universidad de la Peninsula Sta Elena (UPSE)
August 2012 Santa Helena New photos of the Agua Vida Y Naturaleza experiment of growing vegetables and economical interesting trees
May 2013 Santa Helena Growth speed indication with Groasis Technology
Juin 2013 Santa Helena Fondation Charles Darwin aux Galapagos élabore le plan de restauration de l'écosystème «Galapagos Vert 2050
Janvier 2014 Santa Helena Photoseries deux arbres plantés comme une graine de 30 pouces. On est maintenant plus de 5 mètres, et l'autre juste en dessous

Université de Santa Elena Peninsula est le partenaire scientifique de Groasis

Si vous désirez avoir le texte ci dessus, vous pouvez télécharger le document suivant: Explication des objectives du Projet Agua Naturaleza y Vida en Équateur 2012 – 2014. Si vous désirez organiser un tel projet avec AquaPro, ce document vous donnera de l'information générale: Chiffres et programme du Projet Agua Naturaleza y Vida 2012 – 2014